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ARBOIS 2008
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8 janvier 2008

nouveaux colistiers

Cette semaine, encore de nouveaux colistiers.

CVFATIMA RIBEIRO DESVISGNES , 46 ans ce 6 janvier. Elle a deux enfants Damien 21 ans et Charline 18 ans.

« -Je suis Arboisienne, cela fera 41 ans, le 14 janvier prochain, à cette date à ma famille et moi sommes arrivés du Portugal.

J'ai tout de suite aimé le caractère et le charme de cette petite ville jurassienne. J'y ai vu pour la première fois la neige. Quel souvenir !

Ma scolarité de la maternelle jusqu'en 3ème s'est faite à Arbois. Je suis partie ensuite à Lons le Saunier, puis à Besançon.

Je suis issue d'une grande et belle famille de huit enfants (sept filles et un garçon).
L'une de mes soeurs, Céleste BALEZEAU, est bien connue des Arboisiens car elle y était infirmière durant de nombreuses années.

Mes études terminées, j'ai aussitôt été embauchée par René Clément à CIFC - CHARPENTES INDUSTRIELLES. Actuellement, je suis secrétaire à la SCP Brun - Petolat, j’ai été embauchée en 1990 ».

C’est la première fois que tu t’engages sur une liste ?

« -Oui, la première fois. Cependant, je suis passionnée de politique depuis longtemps.
J'aime rencontrer les personnes, les écouter, confronter des points de vue, débattre.
En tout cas, je suis fière de faire partie de ta liste d'ouverture composée de personnes compétentes, altruistes, généreuses et ne souhaitant qu'une chose : le réveil de la belle endormie.
A travers les superbes photos du blog, voyez comme notre ville est belle ! Mais il y a quand même besoin d’un changement ».

Merci Fatima, ton enthousiasme et ta détermination seront essentiels.

Bernard Amiens et Fatima Ribeiro Desvignes, entretien le 2 janvier 2008


MARTINEMARTINE PINGAT-CHANEY a 55 ans, elle est mère de trois enfants et grand-mère d’une petite-fille et d’un petit-fils.

« -Je suis Arboisienne depuis ma naissance, de sang et de cœur, malgré 20 ans d’absence pour raisons familiales. J’habitais le quartier Faramand. Je suis professeur des écoles en poste à Poligny depuis 2005, après dix années passées à Besançon dans une école de 380 élèves à Planoise.

Au niveau associatif, je suis vice-présidente de l’association des Anciens Elèves du Collège Pasteur pour la 4ème année.

De 1991 à 1995, j’habitais à Nantes, un de mes fils faisait de l’escrime, j’étais membre du NEC le plus grand club d’escrime de Loire Atlantique.

De 1975 à 1991, j’habitais dans les Vosges, à Urimenil un village à 10 km d’Epinal où j’enseignais. A cette époque là j’étais Présidente de l’association sportive et culturelle du village, membre de la Fédération des Œuvres Laïques des Vosges et du Club d’escrime d’Epinal.

Animatrice du centre aéré du village l’été, et déjà colistière sur une liste d’ouverture aux élections municipales de 1983 ;

Si on remonte dans le temps, je fus monitrice éducatrice à la Maison de repos du Gai Manoir à Montigny et de 1970 à 1974 notre cher Marcel Février m’a formée aux premiers secours en tant que secouriste ».

Voilà un engagement associatif sans faille où que tu passes Martine, mais rappelle-nous les belles années de la MJC :

« -avec mes amis d’enfance Jean Marchon et toi Bernard, j’assiste et je participe activement à l’ouverture de la MJC rue des Fossés. Modeste par sa structure mais si grande par son ambition culturelle et sportive, elle permettra à toute une jeunesse arboisienne et des environs de se construire en découvrant et créant des activités, en vivant et en partageant de grands évènements dans notre belle ville d’Arbois.

A cette époque là je faisais aussi partie de la troupe de théâtre du Pélican sous la direction de notre célèbre metteur en scène Monsieur Achille Prégaldini ».

Et bien Martine, déjà à ce moment là, tu avais déjà l’esprit d’ouverture, de partage, de passion… enfin bref tu appréciais tout ce qui faisait vibrer Arbois. Et ta volonté ne s’est pas estompée avec les années.

« -Non bien sûr, je te connais depuis longtemps et je sais que tu représenteras bien Arbois. Lorsque tu m’as contactée, j’ai apprécié toute de suite ta démarche et l’esprit de ta liste.

Et depuis mon retour sur Arbois, je suis déterminée à m’investir de nouveau dans la vie arboisienne : deux domaines essentiels pour moi le social et l’enseignement ».

Merci Martine, encore une ferme volonté pour œuvrer pour Arbois

Bernard Amiens et Martine Pingat, entretien réalisé le 5 janvier 2007


Pour les hommes, d’abord

decembre_081BENOÎT MULIN ; il est un peu comme Philippe : idées bouillonnantes avec un enthousiasme et un franc-parler qui peut réveiller un attentisme de passage.

Vas-y Benoît :

« - 40 ans, j’ai épousé Charlotte qui est originaire de Champagnole. Nous avons la chance d’être parents de trois garçons scolarisés à l’école Publique d’Arbois.

Charlotte est responsable du personnel dans une entreprise du Doubs et moi-même, je suis directeur général d’une entreprise bisontine qui emploie 40 salariés en France et une trentaine sur deux autres sites (Tunisie et Pologne).

Natif de Pouilley-les-Vignes (près de Besançon), j’ai travaillé plusieurs années dans la finance (je suis diplômé d’Ecole de Commerce) dans plusieurs villes de France (Paris, Lyon, Marseille…)

En 1987, lors d’une fête du BIOU, j’ai rêvé d’habiter Arbois car j’affectionne tout particulièrement le paysage du vignoble et l’architecture de notre ville. En 2003, nous avons l’opportunité d’acheter un terrain en Cesy, sur lequel nous avons construit une maison ».

Pourquoi ton engagement sur ma liste ?

« -Depuis notre installation, nous avons été rapidement intégrés dans la vie d’Arbois, et Edouard Hirsinger m’a parlé du projet de liste fin 2005.

Et comme le dit un (ou une) internaute sur le blog, j’ai choisi cette ville par amour, bien que mes racines soient ailleurs. Et comme l’amour doit être perpétuel, il faut tout mettre en œuvre pour l’enrichir.

Sur ta liste, Bernard, j’ai trouvé qu’il avait des femmes et des hommes aux talents multiples : ça c’est une grande richesse.

J’ai choisi cette liste car elle n’a pas d’étiquette politique sur le dos : c’était ma condition sine qua non. Mais cela ne veut pas dire que je suis apolitique, bien au contraire.

Pour l’anecdote, lors de nos premières réunions (avant l’été), j’avais donné un prénom à cette liste comme celui de notre célèbre arboisien : L.O.U.I.S (Liste d’Ouverture, d’Union, d’Idées et de Solidarité). Mais « Arbois2008 », c’est notre réelle identité, avec un grand A comme Ambition. Non pas une ambition personnelle, mais une ambition de réussir ensemble pour la commune ».

Que peux-tu apporter au conseil municipal et à la ville ?

« Mes compétences dans la vie économique, car Arbois doit s’occuper de ses entreprises existantes mais en attirer d’autres. Plus d’emplois = plus d’habitants

En plus, nous avons la chance d’avoir Albert Higounenc dans notre liste, qui va apporter ses compétences et ses expériences sur ce sujet ».

Oui, Albert Higounenc,  je l’ai rencontré pour lui poser ces mêmes questions.

« -Je suis un amoureux du sport ,(j’ai repris le foot cet automne avec les vétérans) je serai très heureux de participer aux projets sportifs de demain ».

Et bien je vous le dis voilà encore un excellent élément, jeune, dynamique, plein d’idées c’est à Benoît qu’on doit le stand aux couleurs d’Arbois pour le lancement de la campagne le 22 décembre. Allez regarder sous la rubrique concernée. Ce stand va parcourir les quartiers prochainement. « Ecouter avant d’agir » c’est notre engagement. Merci Benoît

Bernard Amiens et Benoît Mulin, entretien le 29 décembre 2007


decembre_100Et ALBERT HIGOUNENC, il habite  le Moulin au 4 rue de la Bourre, pour les anciens c’est le moulin Lafarge juste en aval de la taillanderie Gerbet.

Albert, Arbois et ce moulin, c’est un coup de foudre ?

« Oui un vrai coup de cœur pour la ville et ce moulin mais il faut dire que je suis né le 16 novembre 1950 dans un moulin en Auvergne.

Je suis marié à Sylvie, père d'une fille et déjà deux fois grand-père. Mes études m’ont permis de décrocher un diplôme d'ingénieur des mines et je travaille depuis dans les travaux publics.

J’occupe aujourd’hui le poste de directeur général de l'entreprise ROGER MARTIN de DIJON.

J’aime la mécanique (auto moto) mais je n'ai pas souhaité en faire mon métier.
J’
apprécie les sorties pédestres et je m’octroie du temps pour quelques grandes ballades.
Très attaché à la rénovation de ma bâtisse de futur retraité, je me considère comme un
Arboisien de résidence mais bientôt j’espère être Arboisien d'adoption ».

Merci de ces précisions, cela ne t’empêche pas d’avoir la ferme volonté d’œuvrer pour Arbois :

« -Oui, je souhaite participer au développement et au rayonnement de cette commune
en apportant mes compétences en matière de travaux, d’urbanisme et du point de vue économique en  lien avec tous les acteurs de ce secteur si vital pour une petite ville comme la nôtre ».

Emplois et économie sont effectivement des priorités, à cela s’ajoutent des compétences dans les travaux. Bref tu es un atout déterminant pour notre liste. Merci Albert de ta confiance, pour Arbois tu seras un retraité efficace et actif.

Bernard Amiens et Albert Higounenc, entretien le 30 décembre 2007.


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